Cheb Bilal - Crédit Habesnah (2004)
K7 de Cheb Bilal sortie chez l’édition Sun House en 2004.
K7Matik est un blog dédié à la promotion et la découverte de la musique Algérienne disparue sous la poussière des cassettes.
K7 de
Cheb Bilal sortie chez l’édition Sun House en 2001.
« Belkdar Achna ou Chafna – Rak Mrid Nta Taandeni Ana» K7 de Cheb Bilal sortie chez l’édition Sun House en l’an 2000.
Bilal règle ces comptes sur le titre « Rak Mrid Nta Taandi Ana » un clash digne des rappeurs des 90’s ; il ne mâche pas ces mots qui que se soit la personne visé dans ce titre il devait vraiment agacé bilal jusqu’à lui consacré un titre et le mettre K.O
k7 du début
de millénaire changement de label et de look pour Bilal, il abondonna la
casquette pour une coupe boule à zéro et une barbiche on dirait un philosophe
de
« Fhamha
Ki Bghite » K7 sortie chez l’édition Red Son en l’an 2000.
K7 de
Cheb Bilal et Malika Ayoub une chanteuse marocaine très connue au maroc, l’album
est mixte du rai et du style marocain déjà familier à Cheb Bilal, il faut rappeler
que Bilal a commencé au début de sa carrière dans le style marocain en voyant
que sa carrière n’arrive pas à décollé il change de registre et adopte le Rai
mais un rai très spécial à sa sauce, il a crée son propre style un style marqué
par les expériences de la vie raconte la nature humaine dans les moindres détails
positives et négatives, une sorte de philosophie de vie propre à lui qu’il a développé
a travers les années, on peut dire que Bilal est au Rai ce qu’était Dahmane El
Harrachi au Chaabi.
« Darja
Darja » K7 de Cheb Bilal sortie chez l’édition Lazer en 1999, un très tube
de l’été 99.
« Yaklouna »
connue plus sous le nom « Ouled Hourma » K7 de Cheb Bilal sortie chez
l’édition Fraternelle en 1999 un de ces plus grand succès de bilal avec « darja
darja » sortie la même année et place Bilal au top du classement, après ce
tube il a enchaîné les succès ; 1999 c’était l’année de Bilal par
excellence.
K7 de
Cheb Bilal Live chante les classiques de Cheb Hasni sortie chez l’édition Saint
Crepain en Algérie et TK7 en Tunisie.
Cheb Bilal de son vrai nom Moufok Bilal est né le 23 juillet 1966 à Cherchell, près d'Alger, mais passe toute sa jeunesse à Oran où il a grandi et suivi des cours du conservatoire.
Il est élevé par ses grands-parents après le divorce de ses parents alors qu'il n'avait que 3 mois.
Il se produit au début de sa carrière dans les mariages et les fêtes à Oran et ses alentours, puis fonde son groupe El Ahouar dans les années 1980 et remporte, en 1987, le premier prix d’un concours de chansons, il eut un certain succès mais qui ne dépassait pas la région de l'Ouest algérien.
En 1989, après son arrivée à Marseille il travaille dans un bar.
En 1997, il sort son premier album Babor Li Jebni (Maudit soit le bateau qui m'a amené) qui a été un succès en Algérie avec les chansons Ghorba et L'hem.
En 2002, il signe avec Universal et sort un nouvel album Sidi Sidi.
K7 de
Cheb Bilal on y trouve Cheb Abdelhak avec 2 titres et une certain Masaro « à
ne pas confondre avec Masari artiste RnB us » un incognito du bataillon sur le titre « Samhtek
Khetra » qui est un très beau titre
sentimental, k7 sortie chez l’édition Saint Crépin.
K7 de Bellemou
Messaoud & Boutledja Belkacem sortie
chez l’édition Lazer.
Belkacem
Bouteldja, né le 5 avril 1951 à Oran, Algérie et mort dans la même ville le 1er
septembre 2015, est un chanteur de raï algérien, considéré comme le père du raï
moderne.
K7 de
Messaoud Bellemou et Said Bentata et Mazouzi live au festival extrafesta en Italie, enregistré en 1995 sortie chez l’édition Lazer en 1996.
Crédit :Bellemou MESSAOUD Saxophone, Trompette, Bellemou MILOUD Trompette, Mohamed MAZOUZI Vocals/voix, Bentata SAID Vocals/voix, Boussif BENCHIHA Clavier, Benaffane HAMDAN Percussion, Laib MOHAMED Darbouka, Messaoudi LAKHDAR, Makhlouf MOHAMED Basse.
Pour
les amoureux de la trompette ils seront pas déçus, on a là les deux virtuoses
de la trompette deux monstres sacrés de la musique Rai, Gana El Maghnaoui que j’avais
déjà partagé ces k7, et Bellemou le miles davis de la pop rai, « Milouda» sortie chez l’édition
Cadic en 1987, il ne s’agit pas leur première collaboration leur connaissance
remonte au début des 70’s.
K7 « Le
Pere Du Rai Vol 2 » de Messaoud Bellemou & Cheb Ourrad Houarri sortie
chez l’édition Krimo Music en 1989.
Bellemou & Cheb Houari
Messaoud
Bellemou, né en 1947 à Aïn Témouchent est un musicien algérien, qui a
grandement influencé le raï moderne à ses prémisses. Il est souvent surnommé à
ce titre comme le « père du raï moderne » d'abord comme trompettiste jouant par
la suite d'autres instruments comme le saxophone, le violon et l'accordéon. Il
est celui qui a fait la jonction entre l'ancestral guasba (la flûte) et la
trompette modernisant ainsi le raï traditionnel.
Messaoud Bellemou est issu d'une famille de cultivateurs. À 10 ans, il montrait de très bonnes aptitudes pour le clairon. Henri Coutan, professeur de l'école municipale d'Aïn Témouchent, l'incita à rejoindre la fanfare locale. Pour le professeur, il pourrait échapper au métier de cultivateur et devenir un trompettiste. A cette époque de l'après indépendance, Messaoud Bellemou se rendait dans tous les mariages pour assister aux concerts de raï rural, la forme du raï traditionnelle avec flûte, guellal et percussion longiligne. Il allait voir notamment les prestations de stars locales comme Cheikha Ouachma, Cheikha Bekhta et Cheikh Brahim.
À 18 ans, Bellemou décide de jouer du raï réalise en remplaçant la flûte par la trompette. De 1964 à 1968, il s'entête à reprendre les airs du blues oranais interprétés depuis des siècles sur un roseau. Il est ainsi considéré comme le créateur de la version pop du raï. Accompagné d'un groupe, il joue dans tout le pays dans l'indifférence générale. Il recrute des musiciens comme Hamani Hadjoum ou Younés Benfissa. Ils réalisent leur premier enregistrement, en 1973 à Oran, chez Zed el-Youm Édition : le 45 tours Sidi H'bibi qui est suivi d'autres aux textes trop licencieux pour l'époque.
Dans un village proche d'Aïn Témouchent, Bellemou découvre Sghir Bouteïba un chanteur à la voix ample qui chante alors de façon allusive Ya moulat el-villa. Des stars de la musique du raï l'estiment comme le meilleur chanteur-improvisateur que le raï ait jamais connu.
En 1975, sa troupe atterrit sur la corniche oranaise, dans la boîte mythique le Biarritz. Le trompettiste y est ensuite rejoint par Belkacem Bouteldja. Jusqu'à 1982, le raï de Bellemou attire le public de l'Ouest d'Oran à ses concerts.
Beaucoup d'artistes s'en inspireront dans le pop raï notamment les chebs Khaled ou Cheb Mami qui populariseront le genre.
K7 du
regretté Djillali Amarna & l’animateur El Hadj Zouaoui chez
l’édition Ais Music.
Djilali
Amarna de son vrai nom Djilali Razkallah, né le 18 février 1962 à Tilmouni, (Sidi
Bel-Abbès), mort le 6 novembre 2010.
Chanteur algérien, membre emblématique et la voix du groupe de la chanson raï groupe AMARNA puis Raïna Raï, l’artiste aura marqué toute une génération, faisant du groupe un géant. Atteint d'un cancer de l'estomac en 2007, confessait sa solitude dans son combat contre la maladie sans aucun soutien moral ni psychologique, il avait lancé deux appels en octobre 2010 à la radio et le journal de 20h de l'ENTV pour venir en aide à sa famille, père de quatre enfants. Décédé le 6 novembre 2010 au CHU de Sidi Bel Abbès.
Raïna Raï est un
groupe algérien de musique raï. Originaire de Sidi Bel-Abbès, leur style de
musique qui mêle raï traditionnel, rock et gnaoui.
Le groupe a été créé en décembre 1980 à Paris, lancé par des anciens chanteurs des groupes Les Aigles noirs et Les Basiles sous l’impulsion d’un musicien de Sidi Bel-Abbès établi en France, en l’occurrence Tarik Chikhi.
Le groupe fait son apparition à l'occasion d'un concert de soutien à la radio Radio Soleil. Ses membres fondateurs sont Tarik Naïmi Chikhi, Kaddour Bouchentouf, Lotfi Attar, Hachemi Djellouli. Ils reprennent des anciennes chansons composées par Les Aigles noirs et d’autres encore comme Ya Zina Diri Latay du chanteur Kadri dziri et Hmama de Blaoui Houari.
Raïna Raï sort son premier album en 1982, Ya Zina Diri
Latay puis l'an suivant un deuxième, Hagda. En 1985 il publie son troisième
album, Rana Hna.
Après consentement des membres du groupe, Kadda a été
écarté et remplacé par un ami de Lotfi Attar, Djilali Rezkallah qui le connait
depuis 1977 alors qu'il était chanteur dans la troupe appelée Choc. En juillet 1985
les membres du groupe se sont séparés juste après leur dernier concert à Alger.
Deux années plus tard, en 1987, Lotfi Attar, avec Djilali Rezkallah a créé un
autre groupe, Amarnas qui a duré jusqu'à 1992.
Le comeback
Sous l'impulsion du producteur de Tlemcen Rachid Baba Ahmed les anciens membres ont rejoint le groupe en signant un nouvel album intitulé Goulou Lmama. Les membres du groupe d'alors étaient Djilali Rezkallah vocalise, Kadda, Kaddour Adem, Lotfi Attar guitariste, Adda percussion Hamid clavier et Hachemi.
Depuis il y on a qui sont morts et ceux qu'ils se sont retirés mais le groupe est toujours en activité.
Zina
Raina Rai Story Part 2
« Hit Parade
90 » est une compilation sortie chez l’édition Rachid et Fethi en 1990
produite par le légendaire Rachid Baba Ahmed.
Rachid avait
l'habitude de proposer son propre hit parade à travers les années, sur
celui-là on y trouve les habitués des studios rachid et fethi, et il y a
un cheb hasni qui marque sa première collaboration avec rachid baba et sa
dernière évidement après ce titre ils n’ont plus travailler ensemble manque
d’occasions ou différents visions des choix artistiques !!
les autres
que des poids lourd, Cheb Khaled était un habitué des lieux pareil pour Noujoum
Saf,Soaraya Kinane,Anouar..
A tout
Elle possède une voix qui fait toute sa particularité, à la fois aiguë et
puissante. Dès sa première télé, elle a su marquer son passage.
Soraya
Kinane a vu le jour le 1er janvier 1958 à Mostaganem. Une enfance heureuse. Un
passage plutôt prometteur dans les études qui, pourtant, a été interrompu par
une incroyable envie de chanter. En 1979, Soraya tente le tout pour le tout et
participe à l’émission Alhan wa chabab avec une reprise du grand Rabah Driassa « Habit
n’toub ».
Très
soutenue et encouragée par son époux, Rostan Ben Ali, lui-même musicien, la
chanteuse démarre d’abord dans une chorale, question de travailler sa voix. Puis,
elle participe à des galas ainsi qu’à des tournées en compagnie de plusieurs
artistes. Une expérience qui lui a permis de passer au niveau supérieur pour
devenir chanteuse à son tour.
Naissance,
en 1986, d’un produit intitulé Zine Zine avec les paroles de son compagnon et
de Bachir Atoura. Les albums commencent alors à pleuvoir, de tubes en succès
dont 7 duos avec le défunt Hasni, entre autres « Dlamet alia », « Waâlach
ya aïnia », « Sebar dak hadha». Après la mort du chanteur, Soraya a
rendu hommage à ce dernier en reprenant quelques-uns de ses titres dans ses
albums «rebaptisés» avec ses propres paroles, dont « Lamima ».
En 1990, ce fut la rencontre avec Rachid et Fethi et le titre « Nar el-hamra » né une année plus tard en duo avec cheb Anouar qui recommence en chantant avec elle dans « Bir Zemzem » et « Djani téléphone ».
Après cinq
albums, la chanteuse décide subitement de mettre un terme à sa carrière, du
moins pour un temps. Négligence ou manque de motivation de la part de la
chanteuse, bref, Soraya se fait oublier des plateaux-télé ainsi que de la radio,
et se met alors à enregistrer quelques titres pour l’Arta.
source :https://www.djazairess.com/fr/infosoir/11955
Soraya
Kinane nous a quitté en 2013 paix à son âme.
Madanitch Netfarko
Soraya & Anouar - Bir Zemzem
Nabghik Nabghik