K7 de Cheba Kheira « Rah Mayaa » sortie en
1997 chez l’édition Poly D’or, on y trouve une reprise de « mahboubet gualbi
rahet » de Cheb Nasro, sur le plan commercial cette K7 a très bien
marché, d'ailleurs comme la plupart des albums de kheira elle a enchaîné les succès pendant 20ans.
K7 de Cheba Zahouania sortie chez l’édition Fraternelle, je connais pas la date de sortie mais elle doit être début 90’s .
Cheba Zahouania de son vrai nom Halima Mazzi nommé la reine du Rai est une des pionnières de la vague cheb débuts 80’s, comme les autres raiwomen on retrouve des photos de mannequins dans leurs pochettes je crois à l’exception de Cheba Fadela qui mettais sa propre photo à l’époque faire carrière dans la musique surtout le rai c’était mal vu , elle contribua à la popularisation du genre et lance son propre style elle ouvre la voie à d’autres femmes et fait tomber les barrières et les codes sociaux avec un son super synthétisé et des paroles libertines défient les mœurs , en 1994 l’integrisme religieux à atteint son paroxysme avec l’assassinat de Cheb Hasni (qui elle contribua aussi à lancer sa carrière) la situation deviens très dangereuse zahouania décida de quitter le pays et de s’installer en France elle reviens à la fin des 90’s et continua à travailler à l’age de 60ans elle est toujours actif.
Une k7
de Cheba Zizi qui faisait dans le genre chaoui, il n’y a aucune info sur cette
cheba a part qu'elle faisait du chaoui et d’après la sonorité de la k7 ça date des débuts 90's sinon elle est incognito au bataillon.
Je
suis pas vraiment fan du genre je le partage pour les admirateurs de ce style et
si vous avez des infos sur elle n’hésitez pas a les partager.
une
cassette rare, cette fois de Cheikh El Hadj M'hamed Elanka. Elanka signifie en
arabe "Le Phénix", pour sa dimension artistique : il planait comme un
Phénix. El Hadj était également surnommé "Le Cardinal" (Elcardinal) surnom
qui lui a été attribué en raison de sa belle gandoura noire qui ressemble au
costume ecclésiastique.
Il est
le maître incontesté et fondateur du genre chaâbi algérien (plus précisément
algérois). Dans cette k7 il interprète la fameuse Qassida (poème) "El
Meknassia", appelée au Maroc qasidat "DAR" (la maison) ou "Dar
Sidi Qadour". Elle est l'oeuvre de Sidi Abdelkader (Kaddour) El Alami, un
poète marocain du 18e siècle. En Algérie elle est connue sous le nom "El
Meknassia" en référence à Meknès la ville natale du poète.
A travers son poème il
raconte qu'il a perdu sa maison, les notables de la ville l'avaient convaincu
de faire don de sa maison pour permettre l'élargissement de la mosquée
mitoyenne. Lorsqu'il la leur donna, ils renoncèrent à l'annexer à la mosquée
mais la gardèrent tout de même. Al Alami fut alors pris des plus grands regrets
et composa sa fameuse qsida dans laquelle il décrit son nouvel état d'errance. Il
récupéra sa maison plus tard grâce à un de ces adeptes. Il est enterré dans sa
maison rendue. Le tombeau de Sidi Kadour El-Alami, dans un quartier paisible de
Meknès, jouit d'une grande vénération.
Today I share with you a rare cassette, this time from
Sheikh El Hadj M'hamed Elanka. Elanka means in Arabic "The Phoenix", for
its artistic dimension: it hovered like a Phoenix.
El Hadj was also nicknamed "The Cardinal" (Elcardinal) nickname
attributed to him because of his beautiful black “gandoura” costume that look
likes the ecclesiastical’s costumes.
He is the undisputed master and founder of the
Algerian chaâbi genre (more specifically Algiers
chaabi). In this k7 he plays the famous Qassida (poem) "El Meknassia",
called in Morocco
qasidat "DAR" (the house) or "Dar Sidi Qadour" “house of
sisi qadour”. It is the work of Sidi Abdelkader (Kaddour) El Alami, a Moroccan
poet of the 18th century. In Algeria
she is well known as "El Meknassia" in reference to Meknes, the poet's birthplace.
Through his poem he
tells that he lost his house, the notables of the city had convinced him to
donate his house to allow the enlargement of the adjoining mosque. When he gave
it to them, they gave up annexing it to the mosque but kept it all the same. Al
Alami was then taken with greatest regret and composed his famous qsida in
which he describes his new state of wandering. He recovered his house later
thanks to one of these followers. He is buried in his home made. The tomb of
Sidi Kadour El-Alami, in a peaceful district of Meknes, enjoys great veneration.
All-4-One - And the Music Speaks, Cadic N°4393
(1995)
« And
The Music Speaks » est le deuxième
album du groupe américain All-4-One, sorti le 6 juin 1995. Il présente le hit
du top 5 Pop "I Can Love You Like That", qui lui a valu une nouvelle
nomination aux Grammy Awards.
All-4-One
a enregistré le plus gros single de 1994 avec "I Swear", un numéro soul
moderne. Bien qu'ils aient eu un énorme succès, ils n'ont pas été en mesure de
se forger une identité avec leur premier album, à part "I Swear", car
il appartenait au album suivant , « And the Music Speaks », d'établir
le groupe comme étant plus qu’ One-hit wonder mais cela ne réussit que
partiellement. Musicalement, l’album est plus fort que le premier, avec une
meilleure sélection de chansons. Le groupe est plus confiant avec leurs
harmonies, montrant leurs racines évangéliques et se permettant encore de devenir
plus funky qu’avant. Néanmoins, la force de l'album reste dans les ballades, où
All-4-One peut réaliser tous ses trucs dramatiques et romantiques, comme ils le
montrent dans "I Can Love You Like That "
et "These Arms". Malgré ces moments forts, le groupe n’est jamais
aussi distingué ni étre aussi charismatique que les Boyz II Men, les leaders de
« laid-back romantics » des années 90. Néanmoins, All-4-One a prouvé
avec « And the Music Speak »s qu’ils sont des professionnels
compétents, capables de produire à la demande une soul commerciale de haute
qualité.
And the Music Speaks is the second album by the
American group All-4-One, released on June 6, 1995. It features their Top 5 Pop
hit "I Can Love You Like That" which earned the group another Grammy
nomination.
All-4-One scored the biggest single of 1994 with "I
Swear," a sweetly syrupy adult contemporary soul number. While they had a
massive hit, they weren't able to carve out an identity with their debut album
apart from "I Swear," as it was up to the follow-up, And the Music
Speaks, to establish the group as more than one-hit wonders but it only
partially succeeds. Musically, the album is stronger than the debut, featuring
a better selection of songs. The group is more confident with their harmonies, showing
off their gospel roots and still allowing themselves to get funkier than they
have before. Nevertheless, the strength of the album remains in the ballads, where
All-4-One can pull out all of their dramatic, romantic tricks, as they show on "I
Can Love You Like That" and "These Arms." Despite these
highlights, the group never is as distinguished or as charismatic as Boyz II
Men, the clear leaders of laid-back romantic-'90s soul. Nevertheless, All-4-One
have proven with And the Music Speaks that they are competent professionals, capable
of turning out high-quality commercial soul on demand.